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Comment en finir ? Pourquoi ? L'art de la rupture...Radicalement : Devine qui a laissé son facebook ouvert ? Avec de grands auteurs (Si ce lien ne marche plus, aller ici) Comment répondre à une infidélité (Si ce lien ne marche plus, aller ici) Où laisser une trace ?
Deux fins possibles :(Tirés de la revue Psychologies et du Jacassin, de Pierre Daninos, o. c.)
Ou quatre ?...
Devine qui a laissé son facebook ouvert ?
http://www.deslettres.fr/lettre-de-rupture-.../
Mourir au sein des seins ?Mourir au saint des saints, d’accord. Mais au sein des seins ? Une Américaine, Donna Lange, est soupçonnée d’avoir occis son amant en l’étouffant avec son opulente poitrine après une altercation dans leur mobile home, rapporte le Huffington Post. Le cas n’est pas unique. En novembre dernier, un avocat allemand accusait sa partenaire, Franzisca, d’avoir essayé de l’assassiner avec ses seins (taille 100 E) en simulant un jeu sexuel. L’homme avait finalement réussi à s’extraire et s’était enfui, nu comme un ver, demandant à un voisin d’appeler la police. En 2010, rapporte Gawker, un Anglais a failli trépasser en plein coït quand sa partenaire a couvert sa tête de ses appendices taille 105. Conclusion : prudence et prudence sont les deux mamelles de la survie. ( Courrier international | Claire Maupas | 23 janvier 2013 )
Le «Musée des coeurs brisés» ouvre ses portes en CroatieMuseum of Broken Relationships
«Nous avons lancé le projet en 2006, en l'appelant le Musée des cœurs brisés, en invitant des gens à faire don d'objets ayant marqué leurs vies intimes, leur permettant ainsi, par une sorte de catharsis, de se soulager du poids que représente une relation ratée», ajoute-t-elle. Bien que l'on puisse se dire que la volonté d'exposer au public une part de sa vie privée relève de l'exhibitionnisme, Drazen Grubisic pense que la principale motivation des contributeurs, qui restent anonymes, a été simplement de tourner la page sur un chapitre de leur vie. «Tous les événements majeurs dans notre vie, tels que les mariages ou les enterrements, sont accompagnés d'une sorte de rituel, alors que seules les ruptures des relations nous laissent dans la solitude», fait-il valoir...
https://brokenships.com/en/visit/the_exhibits
Les objets sont répartis dans plusieurs pièces thématiques, telles que «la Rage et la furie», où l'on retrouve par exemple une hache, devenue un «instrument thérapeutique» dont s'est servi un Berlinois pour réduire en morceaux tous les meubles de sa petite amie. Ailleurs, un flacon de shampoing italien pour toilette intime masculine est accompagné d'une notice explicative: «après notre rupture, ma mère l'utilisait pour polir les verres. Elle disait que c'était super». Dans une autre pièce, baptisée «le Caprice du désir», on tombe sur des jarretelles de Sarajevo. «Je ne les ai jamais mises. La relation aurait peut-être duré plus longtemps si je l'avais fait», lit-on sur une notice signée par l'ex-propriétaire. Chaque objet exposé est accompagné d'une notice contenant des messages parfois cyniques, ou d'autres évoquant de vrais drames ou des douleurs profondes. Comme celle affichée à côté d'une prothèse ayant appartenu à un Croate blessé pendant la guerre, dans les années 1990, et qui décrit sa relation avec une infirmière qui l'a aidé, à l'hôpital, à se doter de sa prothèse: «la prothèse a tenu plus longtemps que l'amour»... Les femmes surtout ont donné des objets, précisent les auteurs de l'exposition. À leur «surprise», en Turquie, les coeurs brisés étaient surtout ceux des hommes. Museum of Broken Relationships
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