|
|
Psychologies comparées
Citation"Tous
les hommes sont menteurs, inconstants, faux, bavards, hypocrites, orgueilleux ou
lâches, méprisables et sensuels ; toutes les femmes sont perfides,
artificieuses, vaniteuses, curieuses et dépravées ; le monde n’est qu’un
égout sans fond où les phoques les plus informes rampent et se tordent sur des
montagnes de fange ; mais il y a au monde une chose sainte et sublime, c’est
l’union de deux de ces êtres si imparfaits et si affreux."
Wolinski dans "Lettre ouverte à ma femme" - p 77.Heureusement qu'elles existent ! Si tu étais un peu plus hypocrite, comédienne et soumise comme la plupart des femmes sont obligées de l'être, cela me faciliterait l'existence. Mais tu ne me fais pas de cadeaux. Ton oeil est implacable, ton ouïe infaillible, impossible d'être, en face de toi, faible ou lâche, malhonnête ou brutal, ou encore d'avoir les ongles pas très nets.Tu es vraiment la femme qu'il me fallait parce que je n'ai pas de volonté et que, grâce à toi, j'ai l'air d'en avoir. Seul, j'aurais traîné toutes les nuits dans les bars. Je serais devenu gros, sale et alcoolique. Je crois que tout ce que les hommes font de bien, ils le font pour essayer d'épater leur femme. Heureusement qu'elles existent ! Mais cela devient de plus en plus difficile de les épater. Car elles jettent sur nous ce terrible regard qui nous effraie par sa lucidité. Et elles prouvent tous les jours qu'elles savent tout faire aussi bien que nous. Il est certain que nous sommes à une époque où de nouveaux rapports sont en train de se créer pour le couple. Les moeurs et les habitudes de vie ont plus changé ces dix dernières années qu'en cent ans. J'ai passé ma jeunesse au milieu des tabous, et pourtant j'avais des parents ouverts et affectueux. Les mères actuelles accordent à leurs filles des libertés que leurs mères n'auraient même pas imaginées. Nous vivons dans une période charnière où les valeurs bourgeoises s'effondrent et où, cahin-caha. nous avançons vers un socialisme inéluctable.
Hommes et Femmes ne se voient pas pareil : (Dessins reçus par courriel. Qui en est l'auteur ?)
Et envisagent la vie de façons différentes : (reçu par courriel, source inconnue)
De Méthode Assimil, Roumain.
Les filles ce n'est pas comme les garçons Elle avait poussé vite. Trop vite. C'était là l'ennui. Certains disaient qu'elle était orpheline et je ne sais quoi encore. Mais ce n'était pas cela. Les filles ce n'est pas comme les garçons. Les filles ça naît sevré et les garçons ne le sont jamais. Le diable m'emporte si vous n'en voyez pas à soixante ans qui retournent à leur voiture d'enfant, et plus vite que ça. Ce n'était pas qu'elle fût vicieuse. On ne peut pas dire d'une femme qu'elle naît vicieuse, car elles le sont toutes de naissance, c'est chez elles quelque chose d'inné. Le tout est qu'elles se marient avant que l'abcès de leur vice ne crève naturellement. Cependant, nous nous efforçons de les soumettre à des principes qui veulent que la femme ne puisse se marier avant d'avoir atteint un âge déterminé. Mais la nature se fiche des principes et laisse faire les femmes, qui se fichent autant des principes que de tout le reste. Susan avait grandi trop üte, voilà tout. Elle atteignit le point critique où crève l'abcès des mauvais penchants avant Ie terme fixé par les principes. Je ne pense pas que les femmes puissent s'en empêcher. J'ai une fille et je n'hésite pas à le dire. W. Faulkner – Une rose pour Emily – Ed. Folio – page 41 ets. Et aussi : Ah, les femmes, esclaves étourdies de leurs émotions !
Les femmes rendent-elles les hommes stupides ? En termes scientifiques, la question est reformulée ainsi : les performances cognitives de l'Homo sapiens mâle diminuent-elles après une interaction avec un membre du sexe opposé ?... Des études de psychologie ont montré que les messieurs hétérosexuels réussissaient moins bien des tests cognitifs après avoir discuté avec une dame qu'avant. L'inverse n'est pas vrai. Pourquoi ?... Selon les biologistes, cette capacité à surinterpréter les signaux envoyés par les personnes de l'autre sexe est un biais que l'évolution a imposé à l'espèce pour que les mâles ne ratent pas une occasion de s'accoupler. Mais cet instinct de chasse de tous les instants a un coût - qui se traduit par de moins bons résultats aux tests - car l'homme "s'épuise" mentalement, consomme ses ressources cognitives (on n'ose dire "intellectuelles") en évaluant sans cesse sa partenaire pour déterminer sa valeur en tant que reproductrice, en contrôlant ses émotions, en se concentrant sur l'image qu'il désire offrir et en surveillant l'autre pour voir s'il lui fait bonne impression... Sous le faux prétexte d'une expérience sur le langage, les chercheurs ont fait passer un test sémantique à quatre-vingt-dix hommes et femmes en les prévenant qu'un(e) observateur(trice) se connecterait ensuite à la cabine dans laquelle ils étaient isolés pour leur donner le top-départ d'un second exercice, où ils devraient lire un texte devant une webcam. Chacun était informé du prénom de l'observateur(trice) et pouvait en déduire son sexe. Le stratagème avait pour but de créer l'attente d'une interaction à venir. Dans ces conditions, alors que, chez les cobayes féminins, aucune différence significative n'était notée selon le sexe de l'observateur, les hommes anticipant un contact avec une femme ont nettement moins bien réussi l'exercice sémantique que les autres. Le plus drôle, c'est que, l'expérience étant automatisée, la femme en question n'existait pas. (Pierre Barthélémy - lemonde.fr/planete/article/2011/12/23/ - extrait)
Et aussi
Une image pour tout résumer :
|
|