|
|
Soutien-gorge et autres dessous féminins.
La culotte, à découvert dans la rue ou déjà portée, objet érotiqueLes japonais pratiquent l'art du Burusera depuis longtemps. De quoi s'agit-il ? Tout simplement d'acheter la culotte portée d'une fille. Il existe même là-bas des distributeurs automatiques de culottes portées... Il n'y a qu'à choisir la culotte portée qui vous plaît et introduire une pièce !... ... Depuis peu, la culotte portée s'affiche aussi en France, et les Françaises découvrent à leur tour les joies de vendre leurs culottes portées, pour le plus grand plaisir de ces messieurs... ( http://www.culotte-portee.eu/ ) ... De nombreux blogs persos existent où des personnes proposent de vendre leurs dessous déjà portés. Si quelques odeurs significatives ont imprégné le tissu, le prix augmente, bien entendu... «Pour certaines, cela permet d’avoir un vrai revenu complémentaire, presque 1000 euros.» Récemment, une culotte a été vendue près de 500 euros... Objet d'art ? Hippolyte Prigent s'amuse à photographier dans la rue les culottes de ses copines, tandis que d'autres jeunes femmes vendent leurs dessous sales sur Internet... Elle ne photographie que des femmes. «Je voulais les mettre à l’honneur pour un tas de petites choses auxquelles je suis attachée», raconte-t-elle. «Les filles, leurs corps, leurs courbes, leurs complexes (à la noix), leurs cheveux, leurs vêtements et surtout leurs petites culottes !.. ... La petite culotte quand on l’a choisie, c’est comme un collier, un t-shirt, même si elle est cachée ! On y tient», continue Hippolyte Prigent. «Les mamans divorcées portent de la lingerie coquine mais discrète, les femmes-enfants des "Petit-Bateau", les femmes qui ont du peps, des plus colorées, fantaisistes. On peut en dire beaucoup grâce à la petite culotte», analyse-t-elle... (Par QUENTIN GIRARD) En Syrie,La créativité et la fantaisie s’expriment à travers la lingerie féminine – strass, paillettes, lumières clignotantes et soutiens-gorge télécommandés sont censés inciter les maris à la fidélité. Au détour d’une allée du marché central du vieux Damas, très fréquenté, un vendeur du nom de Mahmoud me fait découvrir une spécialité syrienne très recherchée : la culotte musicale. Les modèles sont proposés dans une vaste gamme de coupes et de couleurs et lancent de courtes mélodies, ou d’autres sons, dont des sonneries de téléphone, émises par de petits appareils électroniques installés dans la doublure. Les sous-vêtements musicaux ne sont pas les seuls articles vendus dans la Boutique Fatin d’habillement pour les dames à la maison, où Mahmoud – l’œil brillant, tout juste sorti de l’école – fait la réclame pour sa marchandise”, s’émerveille un journaliste de BBC News Online. Chez Fatin [qui signifie “séduisant”, en arabe], on trouve aussi des culottes ornées d’ampoules clignotantes, d’autres qui brillent dans le noir, et un ensemble soutien-gorge/culotte en forme de fines mains de femme enveloppant l’entrejambe et les seins. “Pour un peu plus cher, on peut aussi se procurer soutien-gorge et culotte à télécommande, conçus pour s’ouvrir et tomber au sol en claquant des mains ou en appuyant sur un bouton.” Bienvenue dans l’univers merveilleux de la lingerie syrienne, un monde tout en pompons, plumes, fermetures éclair et soutiens-gorge s’ouvrant tel un rideau de théâtre. Une créativité pleine d’audace, dotée d’un sens de l’humour affûté, qui a fait l’objet d’un livre, "The Secret Life of Syrian Lingerie: Intimacy and Design" . Ce livre bigarré regorge de photos de dessous ornés de toutes sortes de colifichets : oiseaux, papillons, plumes, faux scorpions, fleurs ou encore fourrure. Un festival de paillettes, de perles, de broderies et de pompons rehausse les ensembles. Il y a les modèles qui se mangent et ceux qui recèlent des chocolats ou des œufs. Selon Ammar Abdulhamid, écrivain et militant politique syrien, “la société syrienne aborde la sexualité de front, d’une manière très directe, ce que certaines personnes trouvent étrange car ce pays est censé être conservateur”. C’est ainsi que des femmes voilées achètent leurs dessous à des vendeurs de sexe masculin. D’ailleurs, la tradition en Syrie veut que le trousseau de la future mariée soit bien fourni en sous-vêtements originaux, parfois plusieurs dizaines de pièces, offert le plus souvent par ses amies, tantes et cousines pour pimenter la nuit de noces, la lune de miel et les nuits à venir. Plusieurs personnes citées dans le livre affirment qu’une femme doit divertir son mari à la maison, y compris en dansant pour lui. Le sexe est un plaisir auquel les musulmans, à condition d’être mariés, s’adonnent pleinement, et l’islam insiste sur l’importance des préliminaires, de la stimulation du désir et de la satisfaction des deux partenaires. D’ailleurs, lorsque l’un des deux époux ne parvient pas à satisfaire l’autre – qu’il s’agisse de l’homme ou de la femme –, la loi coranique y voit un motif de divorce... “C’est tellement embarrassant pour les femmes syriennes de parler de lingerie ! C’est sans doute pour cela qu’on l’appelle ‘la vie secrète’”, relève une femme. Une autre explique que, “pour les chrétiens, la lingerie est une chose embarrassante, un plaisir d’un autre temps. Pour les musulmans, c’est quelque chose de tout à fait normal. Ils acceptent et ils aiment les sous-vêtements. Plus une région est religieuse, plus la lingerie est osée. Je pense que si les femmes musulmanes ont moins de liberté à l’extérieur, en compensation, elles en ont plus à l’intérieur.” courrier international 12.03.2009 Vos commentaires ? Haut de page
Au japonDes soutiens-gorge pour sauver la planète Pour minimiser l'usage de l'électricité alors que le Japon, privé de ses 50 réacteurs nucléaires, risque de manquer partiellement de courant si chacun ne limite pas sa consommation électrique, Un fabricant japonais de sous-vêtements féminins a présenté mercredi à Tokyo une idée pour aider les femmes à endurer la chaleur estivale sans faire tourner les climatiseurs énergivores à plein régime : un soutien-gorge rafraîchissant. Le "Bra Super Cool", soutien-gorge de plage imaginé par Triumph Japan, contient un matériau qui, placé quelques heures au congélateur, gèle tout en restant doux. "Celle qui le porte ressent ainsi une sensation fraîche sur sa peau", a indiqué la firme dans un communiqué... ( lemonde.fr/....html Ou pour jouer au golf Comme ailleurs, les femmes passionnées de golf n'ont pas toujours le temps de se rendre sur un terrain homologué pour pratiquer leur jeu favori. Le créateur de lingerie Reiko Aoyama a donc eu la riche idée de mettre au point un soutien-gorge qui, une fois dégrafé, se transforme en un mini-parcours, d'une longueur d'un mètre et demi. Les bonnets font office de trous dans lesquels la balle doit venir se loger. C'est simple et intelligent. On s'étonne que personne n'y ait pensé avant lui. Reiko Aoyama risque cependant de ne pas trouver beaucoup d'acheteuses en Somalie. Plusieurs femmes de Mogadiscio ont été fouettées en public, jeudi, par des militants du mouvement islamiste Al-Chabab, parce qu'elles portaient des soutiens-gorge. Les seins d'une bonne musulmane doivent être libres sous le voile, estiment ces lecteurs du Coran, probablement illettrés et certainement analphabètes. Ils n'ont cependant pas encore publié de fatwa sur le golf. De là que ce sport soit obligatoire... Les Somaliennes, très embêtées, se demandent si elles ne doivent pas d'urgence se munir de clubs, de caddies et de shorts pour être en règle avec la loi. Robert Solé dans Le Monde 14/11/09
Vos commentaires ? Haut de page
Mon pire cadeauMa mère m'a acheté un pack de six hideuses culottes de grand-mère en différentes couleurs. Elles étaient aussi environ de quatre tailles trop grandes. Quel a été son raisonnement pour ce cadeau horrible? "Parce que je pensais que tu voulais quelque chose de sexy à porter pour ton nouveau copain." !!!
Au voleur !Deux petites culottes au fil de la procédure"Nous, soussigné gendarme X, agent de police judiciaire, sous le contrôle de l'adjudant Y, vu les articles 20, 21-1 et 75 à 78 du code de procédure pénale, rapportons les opérations suivantes : le 16 octobre, Mme T se présente à notre unité et manifeste le désir de déposer plainte contre X pour vol de linge. Nous enregistrons sa plainte." Suivent dix pages de procédure, soigneusement cotées et paraphées. Elles commencent par la déposition de la plaignante : "J'avais étendu mon linge sur le fil à 11 heures, samedi. Je me suis absentée l'après-midi et, à mon retour, j'ai remarqué l'absence de deux culottes. - Pouvez-nous nous décrire les vêtements qu'il vous manque ? - Il s'agit d'une culotte blanche de taille 36 et une autre de couleur beige de taille 38. Je pense que mon voisin, M. Z, peut être l'auteur de ce vol, mais sans certitude." ... ... Lire la suite LEMONDE | 10.01.12 Vos commentaires ? Haut de page JuponsÉtonnante
façon de désigner la gent féminine par un sous-vêtement qu'elle ne porte
plus depuis longtemps. A propos, cette affaire nous faisant revenir quelques siècles en arrière, presque au bon temps du "droit de cuissage" médiéval (un seigneur avait le droit d'"essayer" toute femme serve qui se mariait dans sa juridiction, droit dont il n'usait pas forcément), pourquoi dit-on "trousser" une femme ? C'est une affaire de dessous froufroutants : du temps où la gent féminine portait jupon sous la jupe ou la robe, il suffisait de retrousser le tout pour que le passage fût libre. La sociologie du collant noir“C’est la question à 1 million de dollars, celle qu’on me pose chaque jour sans exception à compter de la troisième semaine d’août, et pour trois mois”, commence la journaliste du Guardian qui consacre un article au collant noir. Cette question, c’est : “A partir de quand est-il socialement acceptable de porter un collant noir ?” “Comme pour les huîtres, seulement quand il y a un ‘r’ dans le nom du mois”, répond-elle invariablement. En réalité, écrit Jess Cartner-Morley, le collant noir est soumis à des injonctions plus complexes que cela. Dans le monde de la mode, on ne porte un collant noir “que quand il y a un ’z’ dans le mois”. C’est-à-dire jamais. “Ces New-Yorkaises aux jambes nues été comme hiver et aux allures de papier glacé ne sont pas une légende urbaine. J’ai vu de mes propres yeux leurs gambettes dorées émergeant de bottines Alexander McQueen en plein mois de février à Manhattan.” courrierinternational.com/...la-sociologie-du-collant-noir Vos commentaires ? Haut de page
Poèmes
Vos commentaires ? Haut de page Voir aussi : Messieurs, occupez-vous de vos fesses
|
|