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Sexe et Net - Les sites de rencontre -
BIG BISOU – Le « Kissenger », début des histoires d’amour entre les hommes et les robots... ... "Les amours à distance ont un nouveau Cupidon : un professeur de robotique de Singapour a inventé 'Kissenger', contraction de kiss ('baiser') et messenger ('messager'), un gadget muni de 'lèvres' qui permet d'embrasser via l'Internet" ... "Le 'Kissenger' se présente sous la forme d'une petite tête de plastique aux lèvres surdimensionnées qu'il suffit d'embrasser pour que, à l'autre bout de l'Internet, une vibration soit ressentie sur la bouche du gadget équivalent que le partenaire sera également en train d'embrasser." De nouvelles sensations en ligne, censées pouvoir donner une dimension supplémentaire à la communication amoureuse à distance, grâce à l'intégration du toucher. En images, cela donne :
Tiré de : bigbrowser.blog.lemonde.fr/2012/07/23/big-bisou-le-kissenger...
Le GPS serait-il l'avenir du couple ?Utilisé dans des applications pour smartphones, il permet aux célibataires de draguer près de chez eux. ... Devenu une star du Web avec Grindr, une appli qui a révolutionné les rencontres entre gays, [Joel Simkhai] ce développeur de 35 ans tente aujourd'hui de persuader les hétérosexuels, tout particulièrement les femmes, que l'avenir de la drague passe par le GPS. Il n'est pas le seul à faire ce pari. Plusieurs sites de rencontres viennent de se mettre à la géolocalisation, comme HowAboutWe et OkCupid, dont la moitié des 3 millions d'abonnés utilise l'application mobile. ... En matière de rencontres amoureuses, l'efficacité des nouvelles technologies n'est plus à prouver. Les travaux de Michael Rosenfeld,... ont démontré que l'Internet est désormais le deuxième catalyseur de rencontres aux Etats-Unis, après les amis et devant les lieux publics. " Le Web permet d'échapper aux confins du cercle amical et du quartier pour accéder à un marché beaucoup plus vaste ", explique-t-il. Plus ce que l'on recherche est rare, et plus c'est utile. " On appelle ce phénomène la "longue traîne" de l'Internet, dit-il. De même que l'on peut y acheter des livres introuvables en librairie, on y contacte facilement des personnes statistiquement sous-représentées. " Selon le chercheur, les plus grands bénéficiaires des sites de rencontres sont les homosexuels de tous âges, " car leur marché est structurellement étroit ", et les hétérosexuels de 30 ans et plus, dont le champ des possibles se rétrécit inexorablement. " A 40 ans, vous n'avez plus que 15 % de partenaires potentiels dans votre classe d'âge. Sortir pour trouver l'âme soeur, après 35 ans, c'est perdre son temps. " ... " tous ces sites de rencontres vous enchaînent à votre ordinateur, accuse Simkhai. En définitive, ils vous enferment, seuls et déconnectés du monde réel. Moi, je veux que vous sortiez. " Remettre la proximité physique au coeur de la rencontre : la proposition n'est-elle pas universellement alléchante ? " S'inscrire sur Blendr prend deux minutes, dit-il. Après, on ne perd pas de temps à s'écrire et à planifier. Si on aime bien quelqu'un, on va prendre un café. " ... Mais le sociologue [professeur à l'université du Sussex] doute que cette approche corresponde aux attentes des femmes. " Etre perçues comme en chasse n'est pas simple pour les femmes, qui demeurent soumises à des normes culturelles inhibantes", dit-il. Et quid du sentiment d'insécurité ? " A tort ou à raison, elles se sentent plus vulnérables et hésitent à donner leur position géographique de peur d'être victimes de prédateurs ou harcelées. " (Stéphanie Chayet - Le Monde)
Les plates-formes téléphoniquesà destination de la France, de la Belgique et de l’Espagne emploient plus de 25 000 personnes au Maroc. Elles ont trouvé un nouveau créneau avec les services érotiques. “On te voit le bout des seins à travers le chemisier ?” Henri, un Français d’une cinquantaine d’années vivant à Lyon, envoie ce SMS à un numéro de téléphone abrégé. Cela lui coûte 1 euro. Son destinataire est une belle brune qui vient de lui transmettre par MMS une photo d’elle vêtue d’un haut blanc très moulant. Henri entame alors une conversation érotique, via des textos tapés sur le clavier de son téléphone, avec une femme qu’il croit être une Française de 32 ans, nommée Sylvie et habitant près de sa ville. Mais Sylvie n’existe pas. A l’autre bout du fil, ou plus exactement d’un clavier d’ordinateur, c’est un jeune Marocain de 22 ans, Reda, qui alimente ses fantasmes. Il travaille comme télé-opérateur érotique à Casablanca. A ses côtés, une vingtaine de garçons et de filles du même âge sont engagés dans des conversations similaires avec des clients qui se trouvent en France et en Belgique. “Pour le téléopérateur, c’est comme s’il était sur Messenger, explique Reda. Il y a des filles et quelques garçons virtuels, avec un profil préétabli incluant un nom, un âge, un lieu de résidence, des mensurations et, bien entendu, des photos de gens séduisants, mais pas trop beaux, pour rester crédibles. Les clients s’adressent à eux et nous leur répondons comme si nous étions dans leur peau.” Il faut leur envoyer au moins 150 SMS par heure pour exciter leur libido “et obtenir le taux de réponse le plus élevé possible – il ne dépasse jamais 90 % –, faire durer la conversation et se débrouiller pour qu’ils demandent, par exemple, qu’on envoie sur leur portable des vidéos où leur interlocutrice fait un strip-tease”, au prix de 3 euros l’unité... “Beaucoup finissent par demander notre numéro de portable pour avoir un contact plus direct et certains sont si mordus qu’ils vont jusqu’à se déclarer à la fille virtuelle, poursuit Samira. Cela me donne encore plus mauvaise conscience de faire ce travail.” Les garçons et les filles de la plate-forme s’occupent indifféremment d’utilisateurs des deux sexes, “bien que la plupart d’entre nous préfèrent les hommes, parce qu’ils sont faciles à exciter”, ajoute Reda. La durée de travail est de huit heures au maximum par jour et, lorsque le service est terminé, “un collègue prend la relève avec le client échauffé”. Dans le duplex de Casablanca où la plate-forme a été installée travaillent 150 jeunes télé-opérateurs, dont seulement un tiers de femmes. Mais il n’y en a jamais plus de 25 à la fois. Ils répondent aux SMS vingt-quatre heures sur vingt-quatre et sept jours sur sept sous la supervision de chefs français. Selon Reda et Samira, il y a à Casablanca deux autres centres de messagerie rose, plus petits... Dans courrier international - 25.06.2009 | Ignacio Cembrero | El País
Voir aussi le poème ; Les sites de rencontre
LOINTAINE & L’ESSEULÉEEntre nous, c’est virtuel Internet a fait naître une nouvelle génération d’amoureux à distance qui communiquent par écrans interposés. ... A en croire le nombre d’utilisateurs en ligne affiché sur Skype, nous sommes des millions à passer des heures et des heures d’affilée, à tout moment du jour ou de la nuit, assis en face d’un ordinateur à contempler les yeux pixellisés de l’élue de notre cœur. Il y a quelque chose de désuet et de romantique dans ce type de relation. Les couples qui viennent à peine de se former se font à nouveau la cour, remettant au goût du jour ce rituel passé de mode : ils doivent prendre le temps de se parler et de faire connaissance avant de pouvoir en arriver à un contact plus charnel. Bien plus, Skype crée une sorte d’intimité qui n’existe pas dans les cafés ou les bars. Un utilisateur de Skype est obligé de regarder son partenaire et de l’écouter attentivement. On pourrait même dire que cette forme de contact à distance est plus intense qu’une conversation en tête-à-tête. De fait, elle nous encourage à être présents, à apprendre à se connaître et à se rapprocher en discutant. Mais l’amour en version accélérée ne va pas sans poser de problèmes : tandis que mon esprit s’empresse d’étreindre l’être aimé, mon corps est laissé de côté. Sur Skype, plus on se sent proches, plus on souffre de l’absence de l’autre, de l’impossibilité de toucher sa peau ou de la place vide laissée dans le lit. Si proche et si loin à la fois. Cela peut être incroyablement frustrant. Après plusieurs mois de vie à distance, ma petite amie et moi-même en sommes arrivés à plaisanter du fait que nous n’entretenions pas une relation l’un avec l’autre, mais chacun avec notre ordinateur respectif (il m’est arrivé d’embrasser mon écran et d’enlacer mon clavier)... ... Bien sûr, je ne peux pas m’empêcher de me demander si, au fond, les gens n’ont pas de plus en plus envie de vivre à distance, si nous ne préférons pas être connectés virtuellement plutôt que de cohabiter physiquement. Une relation par Skype ne va pas sans présenter certains avantages. Les couples n’ont pas de concessions à faire quant à leurs exigences en matière de propreté lorsqu’ils se rencontrent dans le cyberespace. Ils ne se battent pas pour savoir qui va descendre la poubelle ou qui a oublié de rapporter le DVD au vidéo-club. Et même s’ils n’ont pas un corps chaud à étreindre au milieu de la nuit, ils savent qu’ils sont là l’un pour l’autre. Virtuellement. Courier international - 01.08.2008 | Jonathan Garfinkel | The Walrus Aussi : sosconso.blog.lemonde.fr/2013/05/17/tentative-darnaque-aux-sentiments/ Belgique : « bedonnant » donc interdit de mariageLa commune d’Uccle, qui subodore un mariage blanc, en raison de profils trops «décalés», refuse de reconnaître en Belgique le mariage célébré en Côte d’Ivoire d’un Belge de 61 ans et d’une jeune femme de 25 ans. Un des motifs retenus est que le Belge est un «sexagénaire bedonnant», rapporte ce mardi Gilbert Dupont dans La Dernière Heure. «Elle, jeune et jolie célibataire sans enfant ; lui, sexagénaire bedonnant déjà deux fois divorcé», peut-on lire dans le courrier adressé à Yves V. pour lui signifier que le mariage célébré en juin 2009 par un maire d’Abidjan et légalisé dans la foulée par le consulat de Belgique est sans valeur en Belgique. Yves V., vexé, proteste : «Sexagénaire bedonnant ?,. Depuis quand l’amour est-il une question de kilos ? Depuis quand un bedonnant ne peut-il plus aimer et être aimé ? J’aime Myriam d’un amour sincère. Nous voulons vivre ensemble à Bruxelles, fonder une famille» “L’administration maintient qu’un “sexagénaire bedonnant” n’épouse pas sans arrière-pensée coupable une jeune beauté de 25 ans rencontrée via Internet”‘ rapporte Gilbert Dupont. (26 octobre 2010)
Se méfier des sites de rencontre :Venez témoigner, comparer, noter les sites de rencontre en ligne. Faut-il aller sur les sites de rencontre, comment réussir sa rencontre amoureuse sur internet, quel site choisir ? Internet bouleverse la rencontre amoureuse. Si un internaute sur quatre se connecte sur des sites de rencontre, nombreuses sont celles (ou ceux) qui s’interrogent, n’osent y aller ou ne savent pas comment y aller. Love Confident vous propose un guide mode d'emploi des sites de rencontre, des fiches d'identité des grands sites de rencontre, les notations et témoignages des utilisatrices de ces sites de rencontre. Voir aussi : Je suis devenue accro aux sites de rencontres
Blague à part, on consultera avec profit L'immigration par escroquerie sentimentale
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